L'acharnement au décharnement

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beaucoup de choses intéressantes sont dites mais avant j'avais envie de poser une question :

Quant tu dis : Tous ces bleus au corps et à l'âme.....comment exorciser ce mal ??

As tu pensé à consuler un psychologue ?
Tu sais que ce sont des professionnels de la santé qui ne jugent pas, qui savent expliquer les problèmes de l'inconscient sur ta conscience aujourd'hui dans le présent, les transferts inconscients que l'on peut faire avec les êtres qui nous entourent... Ces pros, vont te guider pour PARLER, pour tout dire, pour apprendre à vivre avec ton mal, puisque le mal est fait ! on ne peut plus revenir en arrière malheureusement, mais il va t'apprendre.

As tu pensé à écrire ton histoire de la vie ?
Ecrire est un exutoire.
Ecrire permet de se "vider" de ses maux, bien plus agréable que se vider de nourriture
Ecrire permet de se relire, de retravailler un texte, de comprendre
Ecrire permet d'en faire un projet
Ecrire est une thérapie aussi, personnelle
Ecrire est une explication qu'on peut donner à la famille aussi
Ecrire est un outil, non ?

Tu ne nous as pas dis ton age et la date à laquelle TA MALADIE a débuté

tu emploies le mot : culpabilité 3 fois dans ton texte :

Culpabilité par rapport à ton histoire de la vie ?
culpabilité par rapport à ta maladie ?

Il n'y a jamais de culpabilité !! C'est là dessus en premier qu'il faut "travailler"
et c'est là que j'insiste vraiment sur l'intéret à suivre une thérapie !!!

Ce texte, me permet de rebondir donc, sur L'INTERET CAPITAL à rembourser le psychologue ! de donner accès aux soins plus facilement avec un système à mettre en place, un système "de résultat" , je ne sais pas...

Comme je dis souvent : avant de vouloir mettre les jeunes (et moins jeunes) sur le marché du travail, il faut soigner leur santé, donc seulement à ce moment là ils pourront etre à l'aise dans leur emploi, donc plus efficace aussi.--> une personne bien dans sa peau, "attrapera" moins de maladie, donc moins d'arrêt de travail aussi...

N'y a-t-il pas des études à poursuivre en psychologie, un métier à valoriser, à développer ?

Qui mieux qu'un ex malade peut aider à "soigner" un malade ?

Il y a donc urgence à redéfinir les priorités budgétaires !

merci emma pr ce témoignage qui permet de réfléchir.