Ce soir. Une pluie d'étoiles....
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Ce soir. Une pluie d'étoiles....
Pour les crevettes qui ce soir n’ont pas la force, moins la rage et un peu plus de désespoir que de coutume.
Je vous envoie une bassine de courage, une brassée de baisers, et un zest d’insolence bénéfique. Un bouillon qui vous manque peut-être pour replonger dans un océan plein d’espoir.
Je vous dis que je vous aime. Que je sais. Que nous nous devons de nous accrocher.
Que j’aimerais une soirée avec vous, du bruit, des rires et des calories dont on se foutrait. Un moment, un suspend dans nos luttes perpétuelles et acharnées. Un instant…un vrai bonheur, une éternité.
Je vous envoie un gomme pour estomper vos angles les plus vifs. Une mélodie jazzy, un satin, un velours et un coussin de plumes colorées. Je vous dessine un ailleurs, sa liberté et ses perles « tourneroulées ». Mettez-les, parez-vous. Devenez princesses. Soyez… Osez.
Bonne nuit.
°°Bulle°°
Je vous envoie une bassine de courage, une brassée de baisers, et un zest d’insolence bénéfique. Un bouillon qui vous manque peut-être pour replonger dans un océan plein d’espoir.
Je vous dis que je vous aime. Que je sais. Que nous nous devons de nous accrocher.
Que j’aimerais une soirée avec vous, du bruit, des rires et des calories dont on se foutrait. Un moment, un suspend dans nos luttes perpétuelles et acharnées. Un instant…un vrai bonheur, une éternité.
Je vous envoie un gomme pour estomper vos angles les plus vifs. Une mélodie jazzy, un satin, un velours et un coussin de plumes colorées. Je vous dessine un ailleurs, sa liberté et ses perles « tourneroulées ». Mettez-les, parez-vous. Devenez princesses. Soyez… Osez.
Bonne nuit.
°°Bulle°°
Re: Ce soir. Une pluie d'étoiles....
°°bulle°° a écrit:Pour les crevettes qui ce soir n’ont pas la force, moins la rage et un peu plus de désespoir que de coutume.
Je vous envoie une bassine de courage, une brassée de baisers, et un zest d’insolence bénéfique. Un bouillon qui vous manque peut-être pour replonger dans un océan plein d’espoir.
Je vous dis que je vous aime. Que je sais. Que nous nous devons de nous accrocher.
Que j’aimerais une soirée avec vous, du bruit, des rires et des calories dont on se foutrait. Un moment, un suspend dans nos luttes perpétuelles et acharnées. Un instant…un vrai bonheur, une éternité.
Je vous envoie un gomme pour estomper vos angles les plus vifs. Une mélodie jazzy, un satin, un velours et un coussin de plumes colorées. Je vous dessine un ailleurs, sa liberté et ses perles « tourneroulées ». Mettez-les, parez-vous. Devenez princesses. Soyez… Osez.
Bonne nuit.
°°Bulle°°
bonsoir bulle
ce message est très beau, plein d'energie et de richessses, de richessses généreusement offertes
cependant il déclenche en moi plein d'interrogations, une impression de "toujours plus car toujours moins"
donc j'ose :
pourquoi peut on avoir besoin de se transformer en princesse ?
pourquoi a t'on besoin de toutes ces choses qui sont citées ?
de quoi a t'on besoin, en fait ?
sont-ce des besoins, ou bien des envies ?
de quoi a t'on envie ?
et surtout de quoi a t'on réellement besoin ?
et par hasard, n'a t'on pas deja, sans le voir, ce dont on a besoin ?
merci bulle
epsilon- Nombre de messages : 152
Age : 59
Localisation : Ardennes
Humeur : NM
Date d'inscription : 17/01/2008
Cher Epsilon
« Toujours plus car toujours moins…. »
Oui, certainement, sans doute.
Toujours mieux, car peut mieux faire, toujours, tout le temps.
Trop souvent imposé comme doctrine, comme empreinte dans un premier temps, comme morsure maintenant. Toujours plus, peut-être trop, tendre vers une perfection erronée et qui n’existe pas. Qui du coup ne me rassasie. En serais-je là sinon ?
« Moins » parce que les carences je les ai souffert, qu’elles m’anémient.
Les carences affectives. Les manques. Les absences…
Les « princesses » de hier soir, parce que c’est tout ce que nous ne sommes pas étreintes de nos angoisses, pétries du manque de confiance en nous. Ce n’est pas ce que je suis, ce que je voulais ou voudrais être, c’est juste l’opposé de ce que je me vois trop souvent. Parce que je n’y aspire pas malgré les contes répétés, parce que je ne le prétends pas, je n’en ai pas la noblesse escomptée (mais n’en suis aigrie) et parce que très certainement, pour le paraître il faut avant tout l'être... et mon chemin est parsemé.
Je dis que je les aime. Parce que c’est vrai. Que c’est toujours doux à entendre mais qu’il faut avant tout le prouver. Pour cela on entoure, on sertit ce que l’on chérit. On lui veut le meilleur écrin. Et dans toute la rugosité de la maladie, ce que l’on espère c’est le moelleux, le tendre et le suave. Une liqueur et un confortable velouté.
Et ce que nécessite, tout un chacun, pour être bien, c’est la PAIX.
En lui, autour, en les autres…
Quant à ce que nous avons déjà. Les acquis, les progrès. Savoir les apprécier. L’intelligence est de les voir, savoir les retenir, les révéler. Et avec parcimonie, vouloir pour pouvoir, les optimiser.
Oui, certainement, sans doute.
Toujours mieux, car peut mieux faire, toujours, tout le temps.
Trop souvent imposé comme doctrine, comme empreinte dans un premier temps, comme morsure maintenant. Toujours plus, peut-être trop, tendre vers une perfection erronée et qui n’existe pas. Qui du coup ne me rassasie. En serais-je là sinon ?
« Moins » parce que les carences je les ai souffert, qu’elles m’anémient.
Les carences affectives. Les manques. Les absences…
Les « princesses » de hier soir, parce que c’est tout ce que nous ne sommes pas étreintes de nos angoisses, pétries du manque de confiance en nous. Ce n’est pas ce que je suis, ce que je voulais ou voudrais être, c’est juste l’opposé de ce que je me vois trop souvent. Parce que je n’y aspire pas malgré les contes répétés, parce que je ne le prétends pas, je n’en ai pas la noblesse escomptée (mais n’en suis aigrie) et parce que très certainement, pour le paraître il faut avant tout l'être... et mon chemin est parsemé.
Je dis que je les aime. Parce que c’est vrai. Que c’est toujours doux à entendre mais qu’il faut avant tout le prouver. Pour cela on entoure, on sertit ce que l’on chérit. On lui veut le meilleur écrin. Et dans toute la rugosité de la maladie, ce que l’on espère c’est le moelleux, le tendre et le suave. Une liqueur et un confortable velouté.
Et ce que nécessite, tout un chacun, pour être bien, c’est la PAIX.
En lui, autour, en les autres…
Quant à ce que nous avons déjà. Les acquis, les progrès. Savoir les apprécier. L’intelligence est de les voir, savoir les retenir, les révéler. Et avec parcimonie, vouloir pour pouvoir, les optimiser.
aujourd'hui, j'ai pris le temps de tout relire et
je me suis arrêtée sur ce joli texte.
Pas envie de m'exprimer, juste savourer... no comment
Pas envie de m'exprimer, juste savourer... no comment
Invité- Invité
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